Un Maroc « partiellement libre »
Freedom House annonce que le Maroc est « partiellement libre » . On parle ici d’Internet via un rapport où les États-Unis ne sont pas cités. Alors , quelle crédibilité… ?
Freedom House annonce que le Maroc est « partiellement libre » . On parle ici d’Internet via un rapport où les États-Unis ne sont pas cités. Alors , quelle crédibilité… ?
Le mot a été autorisé d’utilisation dans les radios et télés canadiennes. La justification du CCNR : Le mot n’a pas la même connotation vulgaire en français qu’en anglais.
Les vraies « balances » ne sont pas ces femmes qui dénoncent leurs agresseurs. Les « balances » se cachent ailleurs…
Alibaba a enregistré des chiffres records à tous points de vue lors de la journée des célibataires, samedi, en Chine.
Le taux de pénétration d’Internet au Maroc se porte bien. Souhaitons la bienvenue aux potentiels nouveaux internautes, qui connaissent, sans doute, les risques et les potentialités du net…
Le Cloud Tweeter est un petit mouvement de post qui existe depuis 2014 et qui fait aujourd’hui l’actualité. Un petit coin de calme au milieu de flux d’infos trop moroses…
Aujourd’hui, il est devenu de plus en plus rare d’entendre des médias ou des pays de l’occident critiquer la Chine ou promettre à leur peuple de mettre sur la table des discussions la question des droits humains dans ce pays. Alors pourquoi… ?
Un élève tabasse son professeur et on ne trouve pas mieux à dire que « il ne faut pas frapper son enseignant ! ». Une personnalité publique est accusée de viol et on ne trouve pas mieux à dire que « on savait qu’il était violent mais on est surpris ! ». Que de techniques pour tuer les vrais débats…
La flotte de véhicules électriques qui transporte le flambeau est arrivée hier à Barcelone avec en guise d’accueil, une cérémonie en présence notamment du Secrétaire général de l’Union pour la Méditerranée, Fathallah Sijilmassi.
En cas d’accusation publique ou d’affaires médiatisées, que doit-on privilégier ? Le silence pour respecter la présomption d’innocence ou la parole au nom de la liberté d’expression ?