Sous le poids d’une dette de quelque 12 milliards d’euros, Rome ne peut plus entretenir son patrimoine, l’un des plus riches du monde.
Le modèle de restauration de monuments financés par les groupes de luxe est un schéma que l’Etat italien espère reproduire pour rénover d’autres sites historiques.
La ville de Rome tente d’attirer des fondations d’entreprises privées italiennes et internationales.
Cette année: une centaine de projets de restauration seront financés par des opérateurs privés.
Lors de la présentation officielle du Colisée rénové, le chef du gouvernement italien Matteo Renzi a déclaré: « Il n’est plus temps de se plaindre qu’il n’y a pas d’argent pour la culture. Publiques et privées, les ressources existent ».
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