logo-mini
santé

Actualité sciences et santé du 16 mars 2017


Partager

santé

Célébration de la Journée de l’environnement à la forêt de Bouskoura

La Province de Nouaceur et la direction régionale des Eaux et Forêts et de la lutte Contre la Désertification du Centre à Casablanca, ont coorganisé hier, la journée environnementale de la forêt de Bouskoura. Le thème : « La Forêt de Bouskoura: espace d’écocitoyenneté et de développement durable ».

Une manifestation qui a été ponctuée par l’exposition de stands dédiés aux solutions environnementales, des ateliers d’éducation environnementale au pour plus de 1 000 élèves de 40 établissements scolaires. Des caroubiers ont aussi été plantés.

 

///////////////////

Deux campagnes médicales au profit des femmes de la province de Sidi Slimane

Il s’agit d’examens médicaux de dépistage du cancer du sein, du col d’utérus, de l’hypertension, du VIH et du diabète.

La première campagne médicale gratuite a profité à 400 femmes, organisée par la délégation du Ministère de la Santé en partenariat avec l’association de l’action sociale et culturelle et la délégation de l’Entraide nationale à Sidi Slimane.

La seconde, avec le soutien de la Fondation Lalla Salma a profité à près de 3 000 femmes de la région.  Les femmes ayant les symptômes de certaines maladies ont été transférées à l’hôpital provincial, où se trouve une unité médicale relevant de la Fondation Lalla Salma – Prévention et traitement des cancers, afin de poursuivre les examens par échographie et mammographie.

 

///////////////////

Vers l’interdiction de l’utilisation de sacs plastiques au Kenya

Le gouvernement kényan a annoncé, hier, sa décision d’interdire l’utilisation, la production et l’importation des sacs en plastique, qui entrera en vigueur dans six mois. Tous les sacs en plastique utilisés dans les commerces et les foyers seront interdits à partir du 28 août prochain.
Quelque 100 millions de sacs en plastique sont distribués chaque année uniquement par les supermarchés au Kenya. Des sacs qui sont l’une des principales causes de dommages environnementaux et de problèmes de santé. Ils tuent les oiseaux, les poissons et autres animaux qui les confondent à leur nourriture. Ils endommagent les terres agricoles, polluent les sites touristiques et servent de refuge pour la reproduction des moustiques porteuses de paludisme et de la dengue.

Cette mesure intervient trois semaines après que l’ONU ait déclaré « la guerre contre le plastique » à travers sa nouvelle initiative « #OcéansPropres », qui a déjà suscité l’engagement de dix gouvernements pour faire face à cette problématique majeure de la pollution engendrée par le plastique. Le Kenya devient ainsi le onzième pays à soutenir cette campagne des Nations unies. En Afrique, le Maroc et le Rwanda ont déjà interdit l’utilisation des sacs en plastique. D’autres pays sont sur le point d’annoncer des mesures dans les prochaines semaines.

Au Niger. Les cas de méningites se multiplient

Quelque 212 cas suspects de méningite, dont 17 décès, ont été enregistrés au Niger depuis le début de l’année, soit un taux de létalité de 8%, selon le Bureau des Nations Unies pour la Coordination des affaires humanitaires, à Niamey. Le nombre de cas enregistrés est inférieur à la situation l’an dernier, à la même période, mais, cette année, les autorités sanitaires estiment que la méningite pourrait affecter plus de 2500 personnes.
Situé dans la « ceinture de la méningite » qui s’étend du Sénégal à l’Ethiopie, le Niger enregistre presque chaque année des foyers épidémiques localisés dans certains districts sanitaires. Le gouvernement nigérien avait élaboré et diffusé un plan national de préparation et de réponse aux épidémies de méningite pour les années 2016-2017. Son coût : plus de 14 millions de dollars. 12 millions de dollars restent à mobiliser sur le budget total.

 

///////////////////

Énergie éolienne : le projet de tous les records

Pas moins de 7  000 éoliennes autour d’une île créée de toute pièce, c’est le projet fou de la Commission Européenne pour subvenir à une partie des besoins énergétiques de 6 pays : les Pays bas, le Danemark, l’Allemagne, le Royaume-Uni, la Norvège et la Belgique. Fier de sa production énergétique éolienne, le Danemark porte le projet pour contrer les détracteurs de l’énergie renouvelable. L’île devrait être construite sur le Dogger Bank, un banc de sable et de rochers situé au large de la Mer du Nord, entre la Grande-Bretagne et le Danemark. C’est une zone aux conditions géographiques et météorologiques optimales : il y a suffisamment de vent et l’eau est peu profonde, ce qui permet de réduire les coûts de construction.

L’île devrait faire 6 km2 avec une piste et un port, et servira de base pour transmettre aux pays connectés l’énergie générée par les éoliennes. Chacune espacée d’environ 1 km, les 7000 éoliennes devraient s’étendre sur une superficie à perte de vue. Un projet invraisemblable qui est pourtant déjà bien abouti.

Le contrat entre les différentes parties du projet sera signé le 23 mars à Bruxelles.


Poster un Commentaire

14 − douze =

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.