On commence avec des démentis du Ministère de la Santé sur la fermeture d’un hôpital à Rabat pour commencer
Des informations relayées par certains médias ont évoqué la « fermeture d’un hôpital à Rabat ». Le ministère précise qu’il ne s’agit pas d’un hôpital mais plutôt d’un Centre médical de consultations spécialisées qui se situe dans le quartier » Yacoub El Mansour » qui poursuit « Il n’existe aucune intention de fermer ce centre médical, et ce, conformément à la stratégie de proximité du Ministère de la Santé ».
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Il y aussi la direction régionale de la santé de Souss Massa qui dément la mort d’un sans-abri, dimanche, à Agadir, à cause de la vague de froid
De nombreux sites de la presse électronique se sont fait l’écho ces derniers jours, d’une information concernant le cadavre retrouvé près d’une station d’essence au quartier Dakhla de la ville. Un corps qui a été ensuite transféré à la morgue de l’hôpital Hassan II… Et bien selon les premiers résultats de l’autopsie, le décès est naturel. La direction régionale de la santé précise par ailleurs que « des prélèvements feront l’objet d’analyses toxicologiques complémentaires ».
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Bientôt une caravane médicale dans des établissements pénitentiaires de la région du Nord
À partir de demain, du 26 janvier jusqu’au 17 février, une caravane médicale va se rendre dans les prisons de la région de Tanger-Tétouan-Al Hoceima, une initiative de la Fondation Mohammed VI pour la réinsertion des détenus.
La caravane va sillonner chaque fois, pendant trois jours, chacun des établissements pénitentiaires de Tanger, Tétouan, Ksar El Kébir, Ouazzane et Chefchaouen, pour ne citer que ceux là.
En tout cas, l’action va se décliner autour de trois volets : sensibilisation sur le tabagisme, dépistage des cancers chez les femmes et adoption d’un mode de vie sain. Une campagne d’hygiène va aussi être mise en place, avec par exemple l’embellissement des espaces verts, le dernier volet concernera une campagne médicale à profit des détenus, avec la présence de plusieurs spécialistes… de la dermatologie à la pneumologie, en passant par la pédiatrie.
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Camp de Zaatari en Jordanie : le bilan de l’année de l’hôpital marocain qui vient en aide aux réfugiés syriens
L’hôpital médico-chirurgical de campagne marocain, au camp Zaatari, dans le nord-est de la Jordanie, a assuré l’an dernier, plus de 217 000 prestations médicales au profit des réfugiés syriens. Dans le détail : plus de 137 000 syriens ont bénéficié des services médicaux dont plus de 53 000 nourrissons et enfants, selon les données de la direction de l’hôpital. Autre chiffre : plus de 98 000 ordonnances gratuites ont été prescrites, les services les plus fréquentés ont été les urgences, avec un peu moins de 40 000 personnes et la pédiatrie. À noter que 187 naissances y ont eu lieu durant l’année. Déployé par les Forces Armées Royales sur Hautes instructions du Roi, l’hôpital marocain apporte une aide médicale précieuse aux réfugiés syriens, un hôpital qui dispose d’une capacité de 30 lits extensible à 60 et de 125 cadres médicaux, dont 27 médecins d’une vingtaine de spécialités.
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Première obligation verte : la France emprunte 7 milliards d’euros
Un mois après la Pologne, la France est devenue le deuxième pays à émettre des titres de dette qui serviront à financer des investissements en faveur de la transition énergétique. Dans le détail, la France a emprunté un total de 7 milliards en émettant hier sa première obligation de ce type, sur une durée de 22 ans. La souscription était réservée à des investisseurs institutionnels (banques, assureurs, fonds de pension…). Une initiative qui avait été annoncée par le président François Hollande en avril 2016. Un communiqué de L’Élysée publié, hier soir, assure que « le produit de cette émission financera dès à présent et sur le long terme la lutte contre le changement climatique, l’adaptation au changement climatique, la protection de la biodiversité et la lutte contre la pollution » En tout cas, ça montre aussi que la France est reconnue comme un grand État vert, avec un cadre crédible et robuste pour mettre en œuvre l’Accord de Paris ». C’est ce qu’a déclaré de son côté, Ségolène Royal, ministre de l’Environnement.
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Pendant ce temps, Donald Trump confirme que la protection de l’environnement ne fait pas partie de ses priorités.
Santé, commerce, et maintenant environnement : brique par brique, Donald Trump s’attache à démolir l’héritage Obama. Le nouveau président américain a relancé hier, toujours par décision exécutive, deux projets d’oléoducs très contestés et bloqués par la précédente administration. Le milliardaire n’avait donc pas menti : pendant sa présidence, la protection de l’environnement passera après les intérêts économiques. Notamment ceux du secteur des hydrocarbures, dont il a nommé plusieurs figures au sein de son cabinet. Le projet le plus emblématique relancé par Donald Trump, Keystone XL, divise responsables politiques et leaders écologistes depuis plusieurs années. Long de 1900 kilomètres, dont 1400 sur le territoire américain, ce gigantesque pipeline doit transporter le pétrole extrait des sables bitumineux de l’Alberta, dans l’ouest du Canada, jusqu’au Nebraska, dans le centre des États-Unis. De là, il serait ensuite acheminé, via une portion d’oléoduc déjà existante, jusqu’aux raffineries américaines du golfe du Mexique. Dans le camp républicain, on met l’accent sur la création d’emplois que générerait la construction et l’entretien de l’oléoduc. Côté écolo, on s’alarme d’un pipeline censé transporter chaque jour 830 000 barils d’un pétrole lourd extrait grâce à une méthode particulièrement polluante.
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Pic de pollution en France
C’est le deuxième pic de pollution depuis le début de l’hiver. L’alerte est notamment donnée en Île-de-France, qui a dépassé le seuil de plus de 80 microgrammes par mètre cube de particules fines présentes dans l’air. Les mauvaises conditions atmosphériques actuelles seraient à l’origine de ce nouvel épisode qui touche plusieurs régions de France.
D’ailleurs, la France n’est pas le seul pays concerné, il y a aussi l’Europe de l’Ouest, le Benelux, le Royaume-Uni, l’Allemagne… plusieurs pays d’Europe centrale aussi, un pic de pollution qui a poussé les autorités à prendre des mesures pour limiter la circulation automobile et l’utilisation des moyens de chauffage les plus polluants.
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