Quelques mots sur la 5ème édition du Forum de la Mer d’El Jadida
C’est du 3 au 7 mai prochain. En cinq ans, le Forum de la Mer d’El Jadida est devenu un port d’attache pour de nombreux professionnels et amoureux de la Mer, marocains et internationaux. Marins, ministres, pêcheurs, écrivains, chercheurs, étudiants, industriels… Tous s’y retrouvent chaque année au mois de mai avec un même souhait : amener les marocains à mieux connaître la Mer, et à prendre conscience de son immense richesse et proposer des solutions concrètes et durables pour le développement, la promotion et la préservation de la Mer et des zones littorales. Dans un pays qui dispose de 3500 kilomètres de côtes, la Mer constitue pour le Maroc un gisement de valeur précieux et un levier de croissance puissant. À condition d’abord que cette valeur soit connue et reconnue. Ainsi le thème de cette 5ème édition est : « La Mer, notre richesse ». Et pour ancrer l’événement au cœur de la ville d’El Jadida et attirer le grand public, le Forum de la Mer renouvelle son format : des « ateliers experts » les matins et la programmation grand public se déroulera les après-midis au Théâtre Afifi. Côté jeunesse, l’Archipel des Enfants s’installera de nouveau en bord de plage, à noter que, l’ensemble des activités proposées par le Forum de la Mer seront entièrement gratuites.
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Les femmes, un tiers des usagers de drogues dans le monde
Effectivement. Les femmes et les filles représentent un tiers des usagers de drogues dans le monde, cet usage étant plus répandu parmi les femmes des pays à revenu élevé, c’est ce qu’a révélé l’Organe international de contrôle des stupéfiants, hier à Rabat. Cependant, seulement un cinquième des personnes traitées sont des femmes, car elles se heurtent à d’importants obstacles lorsqu’elles veulent accéder à un traitement pour toxicomanie.
« Très souvent, il n’existe même pas de programmes thérapeutiques consacrés aux femmes », a regretté l’Organisation, ajoutant que la problématique de la stigmatisation des femmes usagères de drogues est liée à la moralisation de la société. L’OICS encourage ainsi les gouvernements à donner la priorité à l’accès des femmes toxicomanes aux soins de santé, et demande que les activités de prévention et de traitement de la toxicomanie chez les femmes soient mieux financées et coordonnées.
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La Suède débloque plus de 20 millions d’euros à la santé reproductive dans le monde
L’annonce a été faite hier à Bruxelles lors d’une grande conférence « she decides » qui réunissait une cinquantaine de pays. Il faut savoir que le gouvernement féministe de Suède reste une des voix internationales les plus fortes en faveur de la santé reproductive. « Nous avons besoin d’un leadership mondial qui tienne tête aux forces qui cherchent à restreindre les droits des femmes et des filles » déclaration de la ministre suédoise du Développement international. Ces initiatives ont été lancées en réaction à la signature, en janvier dernier, par Donald Trump d’un décret interdisant le financement d’ONG internationales qui soutiennent l’avortement.
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Perturbateurs endocriniens : le nouvel échec de l’Europe
Faute de consensus, la Commission européenne a renoncé à organiser un vote de représentants des États membres de l’Union européenne sur une définition commune des perturbateurs endocriniens. Après plusieurs rencontres similaires, ils devaient une nouvelle fois débattre du texte, mis sur la table en juin dernier par la Commission… elle proposait des critères de définition des perturbateurs endocriniens, ces substances chimiques nocives présentes dans de nombreux produits du quotidien. Mais plusieurs États membres, à l’image de la France, contestent la définition jugée trop étroite de l’exécutif européen, pour encadrer l’utilisation de ces substances dans les pesticides et les biocides, mais aussi dans des produits comme des désinfectants pour les mains.
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En France. Six étudiants sur dix ont des troubles du sommeil à cause du stress
Six étudiants sur 10 et la moitié des lycéens déclarent souffrir de troubles du sommeil liés au stress, selon un sondage OpinionWay publié hier. Une publication avant la Journée mondiale du sommeil prévue le 17 mars. Ce sondage montre en tout cas que le stress joue un rôle important dans le sommeil des étudiants et des lycéens.
Publié avant la 17ème journée mondiale du sommeil prévue le 17 mars, le sondage montre que le stress joue un rôle important dans le sommeil des étudiants et des lycéens. Ce stress s’accompagne de passages à vide pour une majorité d’entre eux, qui se sentent débordés par leur quotidien. Les étudiants imputent cette sensation à des études trop difficiles pour 62% d’entre eux, à la fatigue liée au fait de devoir travailler en plus des études (22%) ou encore à l’absence de soutien de la part de leur entourage. Les lycéens s’estiment eux aussi insuffisamment soutenus et fatigués par un travail accompli en plus de leurs études.
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