À quelques mois des législatives d’octobre, un nouveau parti vient de voir le jour dans une scène politique marocaine déjà prolifique : l’Alternative Démocratique. Ce parti, c’est le résultat d’une énième scission au sein de l’USFP qui vit une crise interne qui perdure depuis des années maintenant.
Dans sa profession de foi, ce parti Alternative Démocratique s’est fixé comme objectif je cite « de donner une nouvelle alternative aux Marocains qui ne soit ni islamiste, ni celle des faux progressistes ». En clair, ni le PJD, ni le PAM.
Alors le parti Alternative démocratique a tenu, samedi dernier, son congrès constitutif sous le signe de « la confiance en le peuple est l’alternative ». Le parti se veut ouvert sur les jeunes, dans le but de produire une nouvelle culture politique. Si dans la théorie, l’ambition est louable, qu’en sera-t-il sur le terrain ? Et qu’est-ce que la création de ce parti implique dans une gauche tourmentée, segmentée ? Seul l’avenir le dira.
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