Nul ne l’ignore en Europe, l’anglais s’est imposé comme la langue officieuse, de référence, quasi-exclusive des institutions de l’Union Européenne.
À Bruxelles, c’est l’anglais qui l’emporte. Pas de plurilinguisme qui pourrait être pourtant perçu comme un atout économique, comme une richesse culturelle de premier ordre.
Mais le tout-anglais est-il légitime en son principe ? Et maintenant que les Britanniques ont choisi de sortir de l’UE, faut-il continuer à le promouvoir ?
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