La romancière franco-marocaine Leïla Slimani, nouveau prix Goncourt, a appelé, il y a quelques jours, les Marocains à se rebeller contre la répression homosexuelle.

À toute chose malheur est bon.

Chacun de nous a une conscience aiguë de ses droits et nous n’hésitons jamais à les revendiquer et à nous en prévaloir en toutes circonstances.

Le Maroc, le seul pays au monde, je crois, où être un ressortissant national ne garantit aucun traitement de faveur, aucune primauté particulière. C’est même plutôt le contraire. 

Précisons-le d’emblée : je ne suis pas de ceux qui estiment que tous les postes doivent systématiquement échoir au parti arrivé en tête des élections, je ne suis pas non plus de ceux qui pensent que toute collaboration avec le parti arrivé en tête des élections serait une effroyable trahison.

Parce qu’on est en 2016, l’État n’a plus rien à faire dans les chambres à coucher des citoyens.

Ici-bas, rien n’est éternel !

Une fois n’est pas coutume, je vais vous parler d’un sujet dont j’ignore absolument tout : les femmes !

C’est la rentrée.

L’homme le plus honnête, le plus respecté, peut être victime de la justice. Cette fatalité existe, elle porte un nom : c’est l’erreur judiciaire.