Marocains sans frontières
On peut lire sur TheConversation.com un article d’Alain Policar, chercheur en science politique à Sciences Po Paris. Il s’intitule : Contre l’hystérie identitaire, le cosmopolitisme.
On peut lire sur TheConversation.com un article d’Alain Policar, chercheur en science politique à Sciences Po Paris. Il s’intitule : Contre l’hystérie identitaire, le cosmopolitisme.
Depuis longtemps, mais alors, très longtemps, le pont aux ânes des analyses de la région dite Mena — l’acronyme anglais pour « Moyen-Orient, Afrique du Nord » —, est de tout ramener à la religion majoritaire, qui serait le facteur explicatif de tous les manques, politiques, économiques et sociétaux.
Le 3 mai dernier, à 13h27, l’AFP annulait une dépêche publiée par erreur à peine une heure plus tôt. Il s’agissait d’un brouillon de texte, a justifié l’agence, dont l’information ne reposait que sur une seule source, qui n’avait pu être recoupée.
C’est un concept qui ne fonctionne pas si mal et que défend Jean-François Bayart. Il le nomme National-libéralisme, et s’en sert pour décrire l’organisation politique à l’œuvre dans la mondialisation, qu’il fait commencer au XIXe siècle, voire plus tôt.
Il s’appelait Abraham Hyacinthe Anquetil-Duperron, il est né en 1731 et mort en 1805, à Paris. Le personnage fut étonnant, à bien des égards.
La présence juive dans la péninsule ibérique remontait à la plus haute antiquité, même si elle est difficile à dater.
Alors, forcément, l’image d’une officielle américaine brandissant à l’ONU des photos comme preuves de la méchanceté d’un dictateur du Moyen-Orient, ça ne peut que rappeler le mauvais souvenir de ce pauvre Colin Powell, en 2003, agitant désespérément devant les caméras des flacons de sel d’ammoniac — qui avaient peut-être servi à le ranimer après qu’il […]
On le trouve sur YouTube, et c’est heureux. Sous le titre de 6 et 12, Ahmed Bouanani a filmé, en 1968, le réveil de Casablanca.
Four, one, nine. 419. C’est le numéro de l’article du Code pénal nigérian sous lequel tombent ces agissements.
Les images avaient fait le tour du Net, il y a une dizaine de jours.