Alors il ne s’agit pas de l’art de « tweeter » sur internet, ni d’un dictionnaire d’ornithologie, mais de la magie des mots, ou de l’alchimie du langage. La langue des « oiseaux », c’est l’art d’entendre les mots autrement que comme ils sont écrits et compris.
Dernièrement, une scène filmée au Maroc, à Moulay Ibrahim près de Marrakech, en 2016 soit au XXIème siècle, a horrifié les internautes. Un chameau est sauvagement massacré à la hache par une foule en transe, et dévoré cru, devant le regard des autorités locales qui encadraient l’événement.
Parmi les phénomènes les plus marquants en Occident ces dernières années, de cet Occident fatigué, malade et décadent, figurent ces cas multiples, et de plus en plus nombreux, trop nombreux, de « radicalisation » spontanée ou présentée comme telle, et de massacres aveugles.
« L’Afrique est Mon Continent… et Ma maison… et nous avons choisi de retrouver la famille ». Tels furent les mots prononcés par SM le Roi Mohammed VI devant le 28ème sommet de l’Union Africaine, lors d’un discours historique, dont on ne mesurera la réelle portée que dans les 20 prochaines années.
Dans la nuit du 21 janvier dernier à Casablanca, une jeune femme isolée, s’est faite lâchement agressée par une meute de chauffeurs de taxis en colère.
Il y a quelque jour, une prétendue circulaire du ministère de l’intérieur a créé la polémique sur le net. Cette dernière, si elle s’avère être vraie, interdit la fabrication et la vente de la « Burqa », et par ricochet du voile intégral.
L’attentat du 19 décembre dernier à Berlin est un drame, une vingtaine de morts et une cinquantaine de blessés. La cible ? Un marché de Noël. La charge symbolique est forte, c’est le monde occidental chrétien qui semble être visé. Il ne manque plus que le « Allah’ou Akbar » et on a l’attentat parfait, celui dont […]