Y a-t-il un lendemain après le 4 septembre de 2015 ? Des élections régionales et communales avaient été tenues après une panoplie de bonnes intentions. Réformer, décentraliser davantage, déléguer, responsabiliser et contrôler. Tels étaient les verbes que les candidats nous avaient faits conjuguer à tous les temps et dans tous les espaces.
Le MEDEF, lourdement constitué (plus de 100 chefs d’entreprises et responsables universitaires,) a mis un terme à sa 13ème visite au Maroc par une série de conférences et de déclarations.
Il y a dix ans jour pour jour, Dominique Devillepin, alors chef de son gouvernement, avait fait adopter un texte de loi instituant le contrat première embauche (CPE). Un contrat, qui, à l’époque, avait pour ambition de flexibiliser le marché du travail affichant un inquiétant 7% au niveau de son chômage.
Lorsqu’il faut redresser un secteur en déperdition, la création de commission ou de vision est souvent le salut, voire la solution. Lorsque les ministères n’ont plus de réponse efficace à fournir, les plans étalés au-delà de leur mandat font souvent office d’échappatoire.
Loin du désaccord, loin de l’adversité, les plus optimistes, quant à la situation de froid, sont dans le souhait de voir rouvertes les frontières maroco-algériennes. Une frontière de 1660 KM, fermée à tout trafic terrestre depuis 1994 et reste la plus longue frontière sans accès au monde.
Un mineur. La loi lui octroie la personnalité juridique et lui reconnait des droits et des obligations. Le droit de vivre, d’apprendre, se soigner et d’être protégé. Au Maroc, les mineurs ont plusieurs fortunes mais souvent les moins loties.