Il y a quelques années, des journalistes se sont interrogés sur la fiabilité des informations avancées par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, le GIEC, chapeauté par l’ONU et en charge d’appréhender le phénomène du réchauffement climatique. À l’époque, le président de ce GIEC, Rajendra Pachauri, était directement visé par des confrères, lesquels appelaient même à sa démission et réclamaient une réforme profonde du groupe qu’il dirigeait. Il était notamment accusé de diffuser beaucoup de preuves non confirmées au sujet du réchauffement climatique.
Depuis en 2015, il s’est empêtré dans une affaire d’harcèlement sexuel, et a été contraint à la démission. Ce qui est sûr c’est qu’aujourd’hui cette question d’un réchauffement climatique qui serait provoqué par les activités humaines, et qui devrait s’amplifier de façon catastrophique dans l’avenir si rien n’est fait maintenant pour le restreindre, nous interpelle tous, question qui a très largement débordé du cadre scientifique en prenant une extraordinaire dimension politique et économique sur le plan international.
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