Ils étaient une poignée, une dizaine, parmi les quelque 7 000 candidats aux élections législatives du 7 octobre, mais leur présence n’est pas passée inaperçue.
Des salafistes se sont présentés sous plusieurs étiquettes à l’occasion de ce scrutin. Par exemple, l’Istiqlal a décidé de placer Abdelwahab Rafiqi alias Abou Hafs, en deuxième position sur sa liste pour les législatives à Fès. En fin de compte, aucun d’entre eux n’a pu décrocher de sièges dans l’instance législative. Mais leur retour sur la scène politique a tout de même été marquant et nous interpelle ce matin.
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