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Le défilé croisière de Gucci à Londres dans le cloître de l’Abbaye de Westminster


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Louis Vuitton à Rio, Chanel à Cuba, Dior au Palais de Blenheim, et Gucci à Londres à l’Abbaye de Westminster.

Une collection hyper colorée sous influence anglaise et signée par l’italien Alessandro Michele, l’artisan du renouveau artistique de Gucci après l’ère Frida Giannini.

Le show spectaculaire ancre définitivement Gucci dans une modernité bohème, un style excentrique et glamour, avec des silhouettes inspirées du romantisme gothique, d’autres looks mettaient en scène les caftans indiens.

Les codes britanniques étaient bien présents, via des tailleurs de laine à rayures cricket, d’un côté et une influence punk de l’autre.

Eprit rock aussi option New Wave, chez Gucci avec des bombers en soie brodés d’abeilles, des Doc Martens aux pieds, en contraste dans la collection avec des ensembles de dandy habillés de redingote en jacquard, ou des kilts écossais en tartan jaune vif.

Plébiscitée par la faune branchée londonienne, comme par les experts mode, la nouvelle direction artistique signe la consécration d’Alessandro Michele qui ose les vestes en jean cloutées, et les Perfecto en cuir brodés du slogan Blind for love, les imprimés Union Jack,  le tout mixé à une influence Tudor dans les bustiers triangulaires.

Une fantaisie débridée et vintage… qui plaît.

Les ventes le montrent. À Londres, par exemple, les résultats de la boutique Gucci de Bond Street ont ­augmenté de 300 % par rapport à l’année dernière.


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