Si Chanel a choisi Cuba et La Havane, Dior a opté pour l’Angleterre en présentant sa collection au Palais de Blenheim, classé au patrimoine de l’Unesco et lieu de naissance de Winston Churchill.
Un palais où Dior avait déjà dévoilé deux collections en 1954, et en 1958 sous l’égide d’Yves Saint Laurent, le successeur alors du couturier fondateur Christian Dior.
Pour son défilé croisière 2017, c’est un show sous influence British que Dior a mis en scène, une réinterprétation du vestiaire de l’aristocratie britannique d’après-guerre.
Ce show a été imaginé par Lucie Meier et Serge Ruffieux, le duo à la tête du studio de création de la griffe qui n’a pas encore nommé de directeur artistique depuis le départ du belge Raf Simmons.
Un voyage anglais, c’était donc le thème de la ligne estivale, une garde robe inspirée des codes anglais de l’équitation, et de la chasse à courre, mixée à des influences coloniales et empire britannique avec des soieries d’Asie et des imprimés africains.
Mais les classiques de Dior sont toujours là et notamment la veste Bar, et le nœud signature.
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