Et à 3 jours de l’arrivée de Donald Trump à la Maison blanche, la déclaration finale de la « conférence sur la paix au Proche-Orient » ne mentionne pas explicitement la proposition controversée du président élu américain de transférer l’ambassade américaine à Jérusalem mais contient, selon un diplomate français, une mise en garde « subliminale » à la nouvelle administration.
Depuis le début de sa campagne, Donald Trump avait toujours promis de reconnaître Jérusalem comme la capitale d’Israël et de transférer l’ambassade américaine dans la Ville sainte occupée. « Personne n’est plus pro-Israël que moi. Nous devons protéger Israël« , avait-il affirmé sur CNN. Le président palestinien a déjà écrit, début janvier, au président américain élu Donald Trump, l’avertissant qu’un éventuel transfert de l’ambassade des États-Unis à Jérusalem aurait un effet « désastreux » dans la région. Le grand mufti de Jérusalem évoque, lui, une « agression » contre tous les musulmans.
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