En réponse aux sanctions financières décrétées par Washington contre Caracas, le Venezuela a finalement décidé le 15 septembre dernier de libeller ses ventes de pétrole en yuan chinois, allant ainsi à l’encontre de l’usage international qui veut qu’elles soient libellées en dollars. Caracas suit ainsi d’autres pays : en 2012, l’Iran avait d’ailleurs commencé à accepter de vendre son gaz et son pétrole en yuan, suivi par la Russie en 2015. Une décision qui nourrit le débat sur l’hégémonie du pétrodollar sur le plan international.
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