À Fès ce soir : le Palais Dar Batha et son architecture arabo-andalouse seront l’écrin d’un atelier pas comme les autres, titré Éloge de la fausse note, la musique joyeuse et guérisseuse, dans les trajectoires imparfaites de la vie. Hymne à la Méditerranée aussi dans les Jardins anciens de Jnan Sbil récemment restaurés avec un concert d’un ensemble grec consacré l’art de la lyre, et à Dar Adiyel sur des sons métissés de Oud, Guembri, guitare et chant… le blues de Taziri.
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