En donnant un nouveau mandat dès le premier tour au président sortant Hassan Rohani, les Iraniens semblent avoir prôné l’ouverture. Le niveau relativement élevé de la participation témoigne d’un soutien populaire à l’accord sur le nucléaire, perçu comme une bouffée d’oxygène en dépit du maintien d’une partie des sanctions et de l’hostilité de la nouvelle administration américaine. Sur le plan intérieur, le nouveau Parlement comptera moins d’ultraconservateurs et la capitale Téhéran bascule aussi dans le camp des réformateurs, qui l’avaient perdu voilà maintenant 14 ans.
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