Face à la mer d’Alboran, un nouvel espace voit le jour, aussi vaste que silencieux…
Au cœur des jardins du Royal Mansour Tamuda Bay, 4300 m² dédiés au soin, à la remise en forme, au ralentissement se déclinent comme un havre de paix abouti… Il séduit par sa méthode et fascine par sa grandeur, son nom : le Medi-Spa !

Tamuda Bay n’a pas été choisie au hasard. Proximité de l’Europe, lumière diffuse, climat tempéré et arrière-pays à couper le souffle : la région coche les cases d’une destination santé.
Mais le choix du Royal Mansour va plus loin. Ici, le soin n’est pas un supplément de confort, c’est un axe structurant, un espace à part entière, pensé pour articuler bien-être, médecine préventive et accompagnement dans le temps. Trois niveaux, 4300 m², un parcours étudié, entre circulation fluide, matières naturelles et ambiances contrastées. Un lieu conçu avant tout pour ralentir.  Au Medi-Spa, l’architecture fait partie du soin. Lumière naturelle, volumes apaisés, piscines d’eau de mer, grotte de sel, hammam, salles de méditation… Tout est pensé pour ralentir, mais rien n’est laissé au hasard. L’immersion est sensorielle, mais aussi méthodique : chaque étape du parcours s’inscrit dans une logique de rééquilibrage. Sous la voix de David Lestelle, du Medi-Spa Royal Mansour Tamuda Bay, le lieu se dévoile…

Mais le vrai déplacement s’opère ailleurs : dans la manière de penser le soin comme trajectoire. Médecine chinoise et ayurvédique, bilans métaboliques, traitement par biomarqueurs, nutrition inspirée des Blue Zones : chaque protocole s’inscrit dans une lecture du corps qui ne réagit pas, mais anticipe. Une médecine non plus curative, mais projective

Medi-Spa Royal Mansour Tamuda Bay ne propose donc pas un simple moment de pause. Dans cette démarche de continuité, c’est un positionnement inédit dans la région qui se profile, qui pourrait bien redessiner les contours du tourisme de bien-être au nord du Maroc.
Une autre temporalité du soin s’ouvre ici : plus enracinée, plus lucide, peut-être aussi plus durable. Bien vieillir n’est plus une promesse, c’est une grammaire…À six temps : prévenir, prédire, personnaliser, participer, pluraliser… et être portée par le plaisir.