Sous le thème : «L’eau et le sacré», l’eau et sa symbolique spirituelle, et l’eau comme enjeu du futur, source de vie à préserver. Pour Alain Weber qui orchestre le Festival avec la Fondation Esprit de Fès, l’événement « se veut ainsi un voyage initiatique scandé de traditions musicales, de poésies et de danses. Le sacré est le lien unissant l’Homme à la nature ».
Weber cite Claude Lévi-Strauss pour qui la sacralisation du vivant apparaissait comme une condition première de la sauvegarde écologique. En tant que directeur artistique du Festival, il a imaginé un parcours sous forme d’hymne au monde maritime et océanique. Un répertoire qui invite des artistes de la méditerranée comme le guitariste Vicente Amigo, des musiciens de Sardaigne et de Crète et d’autres originaires des îles du Japon ou d’Egypte en hommage au fleuve du Nil.
Après l’hommage à l’Inde en 2016, cette édition mettra en lumière la musique et la poésie d’une autre civilisation pluri millénaire : la Chine.
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