Après le débat sur les bonus des dirigeants de Volkswagen, c’est au tour du salaire de Carlos Ghosn de créer la polémique. Le patron de Renault est sous les projecteurs.
Le ministre français de l’Économie, Macron, a exigé une nouvelle réunion du conseil d’administration de Renault, qui, on le rappelle a validé les 7,2 millions d’euros perçus par Carlos Ghosn en 2015, et ce malgré, l’opposition des actionnaires.
Ce n’est pas la première fois que le gouvernement français tente de faire plier les grands patrons.
Récemment, la multiplication par deux du salaire de Carlos Tavares, PDG de PSA atteignant 5,2 millions d’euros a été fortement contestée par les représentants de l’Etat français, premier actionnaire du constructeur automobile, contestée car elle intervient après trois années de gel des salaires et de réduction des coûts chez PSA.
Des polémiques ont aussi éclaté en France sur les bonus et salaires des patrons d’Alcatel-Lucent et Sanofi.
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