En France, les candidats à la présidentielle continuent de déployer leurs armes, à exactement deux mois de la tenue du premier tour.
La sortie du nucléaire et du diesel, ainsi que l’abandon du projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes dans sa forme actuelle sont inscrits dans la « plate-forme présidentielle » signée par les socialistes et les écologistes. Cet accord est à l’origine du choix du Vert Yannick Jadot de renoncer à briguer l’Elysée au profit d’une alliance avec le candidat PS à l’élection présidentielle, Benoît Hamon. Par ailleurs, Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon, candidat de La France insoumise, se sont vus vendredi soir pour évoquer un éventuel rassemblement.
Une information révélée ce dimanche par l’entourage du candidat socialiste. Lors d’une émission télévisée sur France 2 jeudi soir, le candidat porté par le Front de gauche et le Parti communiste notamment, s’était déclaré ouvert à la discussion, bien que peu convaincu des chances d’aboutir à un accord.
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