Pascal Bruckner dans son dernier essai, un racisme imaginaire, mène une réflexion sur l’antiracisme. En somme pour lui, l’islamophobie est une invention pour interdire le débat.
Il y écrit par exemple : « L’antiracisme, pareil à l’humanitaire, est un marché en pleine expansion où chaque groupe, pour exister, doit exciper d’une blessure qui le singularise ».
Plus loin, selon lui, la querelle de l’islamophobie est révélatrice d’un phénomène: le surgissement continu de «nouveaux racismes» que l’on enregistre avec une fébrilité anxieuse. Pour lui, la notion d’islamophobie est équivoque, ce ne serait pas un rejet des musulmans, plutôt un outil rhétorique qui sert à faire taire toute critique de l’islam, comme repris par le quotidien Le Monde notamment.
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