Jusque-là réservés aux fêtes de fin d’année, ils sortent désormais de leur fonction festive pour devenir le détail rock d’un look casual. L’idée ? Casser l’image premier degré de la robe de princesse en associant les paillettes à des basiques hyper simples ou des pièces issues du vestiaire féminin-masculin.
Au fil des siècles et des styles, le sequin désigne un petit disque de métal cousu en son centre ou à l’une de ses extrémités sur des voiles et censé tintinnabuler suggestivement faisant ainsi de ce petit détail le meilleur partenaire des stars de cinéma. Le sequin va ainsi servir la plastique des divas du grand écran, Marlene Dietrich et Jean Harlow en tête. Un temps oublié, il revient en grâce avec le disco entre 1978 et 1982, puis s’éteint à nouveau pour raviver son éclat voilà il y a quelques années avec le boom de la mode «girlie ». Ainsi, au fil des collections, le sequin gagne en sophistication et donne donc un semblant de coquetterie futuriste. Toutefois, il vient aussi doper la nature basique des tenues.
Avec des motifs japonisants, version psychédélique ou effet voile sensuel doré, le sequin s’imprime, sans demi-mesure et brille de mille feux. Devenu l’addiction de toutes les stars, on le retrouve de plus en plus dans les collections des enseignes fast fashion, permettant ainsi à la modeuse lambda de s’essayer au sequin urbain.
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