L’orientation après le bac, est-ce une question d’embarras du choix ou de choix de l’embarras ? Plusieurs centaines de milliers de bacheliers n’échapperont pas cette année encore au désarroi face à l’inconnu. Et autant de familles n’échapperont pas à l’obsession de l’employabilité.
Les bacheliers, jeunes adultes n’ayant pour la plupart aucune vision claire de ce qu’ils veulent faire, seront à cette étape cruciale de leur parcours pas-ou-peu-ou-mal accompagnés dans la prise de décision.
Les familles, elles, calculeront les chances de leurs enfants à accéder à des formations dans les grandes écoles (privées ou publiques) ou dans les universités. Ce sera là, une question de notes, de ce qu’ils croient que le marché pourra absorber en termes de profils, mais surtout une question de moyens financiers.
En 2016, comment bien s’orienter après le bac ? Surtout si l’économie peine à produire de l’emploi. Quand devrait s’opérer la réelle identification du potentiel de chaque candidat afin de mieux accompagner son choix ?
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