Les autorités turques ont procédé à des milliers d’arrestations après le coup d’Etat raté par une poignée de généraux de l’armée vendredi soir.
Le président Erdogan a promis d’éliminer « le virus » de toutes les institutions étatiques en allusion à son adversaire de longue date Fethullah Gülen. Erdogan a d’ailleurs demandé l’extradition de Gülen à Washington, et alors que les réactions internationales de soutien s’étaient multipliées en faveur du président turc au lendemain du putsch manqué, désormais, c’est l’inquiétude qui est de mise à l’étranger.
Barack Obama a rappelé à la Turquie « le besoin vital » que toutes les parties concernées « agissent dans le cadre de l’état de droit ».
Côté Français : Jean-Marc Ayrault, le chef de la diplomatie française a refusé tout chèque en blanc au chef de l’Etat turc.
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