Du fameux « Féline » au facétieux « Helmut Wang », les jeunes designers n’hésitent plus à flirter avec la contrefaçon pour faire sourire la modeuse avertie. Des logos détournés qui font également la joie des fashionistas désirant injecter une touche d’humour à leurs looks pointus. Oublié le temps où les maxi logos étaient systématiquement synonymes de mauvais goût : revus, corrigés et détournés, ceux-ci connaissent aujourd’hui un nouvel âge d’or. Bucci, Benzo, Asl ou Ballin… Ces noms renvoient donc forcement à certaines grandes marques même si l’orthographe n’est pas celle qu’on a l’habitude de voir.
Aujourd’hui, ce phénomène à l’origine 100% streetwear est adopté par toute la sphère mode. Vues tour à tour sur la chanteuse Rihanna ou sur les tops modèles du moment ou sur les rédactrices branchées, ces « néo-contrefaçons » sont ainsi passées en quelques temps du statut de micro tendance streetwear à celui de snobisme fashion.
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