Pour une alchimie déco réussie, impossible de faire l’impasse sur le traitement de la lumière.
Parmi les tendances de la saison en matière d’éclairage : l’inspiration nippone. Abat-jour, suspensions et lampes à poser Origami, des luminaires complexes mais aériens, travaillés mais légers, poétiques et arty.
Les modèles classiques allient bambou et washi, ce papier japonais fabriqué à partir d’écorces de mûrier.
On aime ces créations nippones qui ont comme un supplément d’âme et jouent sur les effets de texture, les lignes et l’épure.
Inspirées de l’art ancestral du pliage de papier, ces luminaires origami élargissent leur territoire.
Métal, inox et acier plié, mat ou laqué, plastique recyclé, et même verre et marbre.
Autre style, autre inspiration : les lampes néo-industrielles, métalliques, oxydées et articulées.
Fines ou géantes façon projecteurs de studio, elles restent actuelles surtout en contraste avec des matières et pièce de mobilier chaleureuses et pas en total look.
Ces lampes industrielles se déclinent en lampe de travail, chevets et liseuses, lampadaires sur pied et suspensions.
Côté couleurs et finitions : deux tendances, métal et alliage peint en noir mat, chrome, et toutes les nuances de gris. Ou encore des teintes flashy et saturées : jaune citron, orange pop, rose fuchsia, ou pastels tendres vintage.
Difficile de terminer cette revue de style, sans lister ces modèles cultes coups de cœur et objets de désir.
L’italienne Pipistrello de l’architecte Gae Aulenti. Une autre belle italienne, la lampe Arco d’Achille Castiglioni.
Côté style industriel, l’Original 1227 Ade George Carwardine et le projecteur de sol, une création de l’architecte Le Corbusier.
Intemporelle aussi mais scandinave cette fois, la lampe de travail AJ du Danois Arne Jacobsen crée en 1960. Minimaliste et élégante. Un sans faute qui en fait un grand classique terriblement moderne.
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